Méphistophélès : Celui qui hait la lumière. Démon de la littérature médiévale, qui assiste le docteur Faust, dès lors que celui-ci livre son âme au Prince de l'Enfer

Goethe a transformé le personnage médiéval de Méphistophélès en un symbole métaphysique. Pour que l'humanité ne s'endorme pas dans une paix trompeuse et affadissante, Méphistophélès reçoit de Dieu la liberté de jouer dans le monde le rôle de l'inquiétude féconde et créatrice. Il a donc sa place dans l'évolution progressive, comme un des facteurs essentiels, fûtil négatif, de l'universel devenir.

"Je suis une part des forces qui veulent toujours le mal et sans cesse créent le bien" dit-il à Faust.

Graphistophélès : Le mystificateur est mystifié. C'est l'apprenti sorcier qui joue avec l'inconscient et qui ne l'élève à la lumière de la conscience que pour mieux bafouer la conscience.
Graphistophélès symbolise encore le défi de la vie, avec toutes les équivoques qu'il comporte.
C'est cet aspect de notre inconscient que vient exciter et illuminer Graphistophélès. Ce rappel du côté obscur de la personnalité, de l'énergie qu'il représente et de son rôle dans la préparation du héros aux luttes de la vie est une transition essentielle.

Graphistophélès regroupe des graphistes et des infographistes, mélange d'informaticiens et de graphistes, illustrant, d'une manière générale, et s'occupant de graphisme.